Le poète suédois méconnu Tomas Tranströmer, aphasique depuis sa commotion cérébrale de 1990, a reçu le prix Nobel de littérature 2011.
Il évoque Georges Simenon dans « Hommages » Accords et Traces, 1966 :
« Nous nous enfermions avec Simenon/ pour renifler l’odeur qu’a l’existence humaine/ là où débouchent les feuilletons. »
À la demande :
« Est-ce qu’on le lit toujours en France ? »
Un triomphant « mycket bra » (très bien ?) ponctue la réponse affirmative...
D’après l’article du Monde des Livres du 05.01.12
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