« J'ai quelques confrères admirables, je ne les cite pas tous, je ne veux pas leur faire du tort. Tenez Siménon [sic] des Pitard on devrait en parler tous les jours ! »
Bagatelles pour un massacre, Paris, Édtions Denoël, 1937, p. 215.
samedi 30 mai 2009
lundi 25 mai 2009
Georges Simenon. Un univers médiatique
Guy Delchambre, chineur et collectionneur, a élaboré ce livre, en collaboration avec son petit-fils Laurent Pullara.
Des téléfilms aux pièces de théâtre, des films aux ballets en passant par les émissions de télévision, ce sont des centaines de références croisées entre titre, acteurs, réalisateurs, seconds rôles, décorateurs, musiciens, etc. qui sont ici répertoriées pour le plaisir des amateurs et des passionnés de Simenon.
Georges Simenon : un univers médiatique est annoncé pour paraître dans le courant du mois de septembre 2009. D'un format A4 sur plus de 520 pages agrémentées de nombreuses reproductions d'affiches de films, ce n'est pas moins de plusieurs centaines de titres qui seront décortiqués de la façon la plus lisible possible. Un index complet permettra, au départ du nom de l'acteur, de l'actrice ou d'un membre de l'équipe du média, de retrouver toutes les productions dans lesquels il est impliqué.
La date limite de commande est : 1er août 2009 à
Noir Dessin Production
Rue des Artisans, 22
4030 Liège - Belgique
Prix : 35 € à virer au compte 001-2317766-27 en mentionnant "Simenon"
Des téléfilms aux pièces de théâtre, des films aux ballets en passant par les émissions de télévision, ce sont des centaines de références croisées entre titre, acteurs, réalisateurs, seconds rôles, décorateurs, musiciens, etc. qui sont ici répertoriées pour le plaisir des amateurs et des passionnés de Simenon.
Georges Simenon : un univers médiatique est annoncé pour paraître dans le courant du mois de septembre 2009. D'un format A4 sur plus de 520 pages agrémentées de nombreuses reproductions d'affiches de films, ce n'est pas moins de plusieurs centaines de titres qui seront décortiqués de la façon la plus lisible possible. Un index complet permettra, au départ du nom de l'acteur, de l'actrice ou d'un membre de l'équipe du média, de retrouver toutes les productions dans lesquels il est impliqué.La date limite de commande est : 1er août 2009 à
Noir Dessin Production
Rue des Artisans, 22
4030 Liège - Belgique
Prix : 35 € à virer au compte 001-2317766-27 en mentionnant "Simenon"
Monsieur Joseph
Incarné de façon magistrale par Daniel Prévost Monsieur Joseph est une adaptation toute en finesse du roman de Georges Simenon Le Petit Homme d’Arkhangelsk réalisée par Olivier Langlois.
Quel fut le crime de M. Joseph, libraire et collectionneur depuis quarante-cinq ans sur la place du Vieux-Marché ? D’avoir épousé une jeune femme de trente-cinq ans sa cadette ? Cette histoire est celle du racisme ordinaire... celui où la rumeur s’insinue jusqu’à détruire l’existence.
Le DVD est édité par le SCÉRÉN (Service Culture éditions – Ressources pour l’Éducation nationale) et est destiné à être exploité en classe de français ou de philosophie autour des thèmes du roman : la solitude, l’incommunicabilité, l’exclusion sociale et la culpabilité. Durée : 90 min.
Il est utilement complété par un livret pédagogique de 40 pages réalisé par notre ami Bernard Alavoine.
Disponible à la Librairie de l’éducation, 13 rue du Four, 75006 Paris et dans toute les librairies du réseau SCÉRÉN.
Il peut aussi être commandé en ligne sur www.sceren.com.
Référence : 755B0777. Prix : 19 €. Frais d’envoi : 4,5 € - Union européenne 8 € - DOM-TOM et étranger, sur devis.
samedi 23 mai 2009
Lectures de quinzaine
En 1926 et 1927, Georges Sim à publié huit nouvelles dans ce bimensuel édité à Paris par les Éditions Ferenczi.
Ces textes viennent d’être réunis en volume par les « Amis de Georges Simenon » dans une agréable plaquette tirée à 350 exemplaires tous numérotés.
La préface de Jean-Baptiste Baronian présente les éditions Ferenczi et introduit les nouvelles. Il y est précisé notamment que : "Six d’entre elles contiennent une illustration, cinq d’après un bois gravé et une seule au trait, en l’occurrence un dessin, signé J. Bruller, c’est-à-dire Jean Bruller. Et c’est là, on le sait, le véritable le patronyme de Vercors, l’auteur du célèbre roman Le Silence de la mer [...]."
Ces textes viennent d’être réunis en volume par les « Amis de Georges Simenon » dans une agréable plaquette tirée à 350 exemplaires tous numérotés.
La préface de Jean-Baptiste Baronian présente les éditions Ferenczi et introduit les nouvelles. Il y est précisé notamment que : "Six d’entre elles contiennent une illustration, cinq d’après un bois gravé et une seule au trait, en l’occurrence un dessin, signé J. Bruller, c’est-à-dire Jean Bruller. Et c’est là, on le sait, le véritable le patronyme de Vercors, l’auteur du célèbre roman Le Silence de la mer [...]."
Conférence à la Bilipo
Michel Carly donnera une conférence le samedi 3 octobre à 17 h à la Bibliothèque des Littératures policières, rue Cardinal-Lemoine à Paris 5e sur « Simenon, romancier de l’Amérique » dans le cadre de la publication des deux volumes des romans américains chez Omnibus.
samedi 16 mai 2009
"Jusqu'à l'enfer" avec Bruno Solo
Neyrac Films, qui avait déjà produit le téléfilm Les Innocents (2006) avec Olivier Marchal et Stéphane Freiss, retrouve son réalisateur Denis Malleval pour Jusqu'à l'enfer.
Les interprètes seront :
Bruno Solo (Simon Andrieu)
Delphine Rollin (Christine Andrieu)
Jean-Louis Foulquier (Dr Paul Jussieux)
Cécile Rebboah (Patricia Mollier)
Yvon Back (Procureur Roche)
Jérémie Covillault (Renaud Ferbach)
Audrey Beaulieu (Madame Katz)
Jacques Spiesser (Capitaine Vallin)
Claire-Lise Lecerf (Belle Sherman)
Didier Cauchy (Lieutenant Nogalès)
Ce téléfilm sera adapté de La Mort de Belle de Georges Simenon. Ce roman – déjà mis en images par Édouard Molinaro en 1961, sur un scénario de Jean Anouilh – raconte comment un enseignant devient suspect numéro 1 dans l'affaire du meurtre d'une jeune fille. Le tournage est prévu du 25 mai au 23 juin, avec Bruno Solo et Delphine Rollin dans les rôles principaux.
Les interprètes seront :
Bruno Solo (Simon Andrieu)
Delphine Rollin (Christine Andrieu)
Jean-Louis Foulquier (Dr Paul Jussieux)
Cécile Rebboah (Patricia Mollier)
Yvon Back (Procureur Roche)
Jérémie Covillault (Renaud Ferbach)
Audrey Beaulieu (Madame Katz)
Jacques Spiesser (Capitaine Vallin)
Claire-Lise Lecerf (Belle Sherman)
Didier Cauchy (Lieutenant Nogalès)
Ce téléfilm sera adapté de La Mort de Belle de Georges Simenon. Ce roman – déjà mis en images par Édouard Molinaro en 1961, sur un scénario de Jean Anouilh – raconte comment un enseignant devient suspect numéro 1 dans l'affaire du meurtre d'une jeune fille. Le tournage est prévu du 25 mai au 23 juin, avec Bruno Solo et Delphine Rollin dans les rôles principaux.
mercredi 13 mai 2009
Guide amoureux de Liège
De Charlemagne à Simenon, Christian Libens invite suivant ses choix à une flânerie dans cette Cité ardente pour laquelle il a les yeux de Chimène.
Écrivain passionné d’itinéraires culturels et de géographie 
littéraire, il se penche sur la dimension immatérielle, voire spirituelle de nos grands sites et paysages : « Esprit, es-tu là ? »
En 2002, Christian Libens avait déjà publié un petit guide préfacé par John Simenon, Sur les traces de Simenon à Liège dans la collection « Promenades Découvertes » des Éditions de l’Octogone.
Décidément très actif, notre ami récidive avec un Guide amoureux de Liège qui vient de sortir aux éditions Luc Pire dans lequel il s’est plu à glisser son cher Georges Simenon un peu partout...
Cet ouvrage richement illustré conviendra idéalement aux simenoniens qui souhaiteront découvrir la « Cité ardente » en mettant leurs pas dans ceux de leur écrivain préféré
Christian Libens, Guide amoureux de Liège, Bruxelles, Luc Pire, 160 p. 17 euros
mardi 5 mai 2009
Maurice Leblanc lecteur de Simenon
Dans son étude Maurice Leblanc. Arsène Lupin malgré lui publiée chez Séguier en 1989 (rééd. en 2001), Jacques Derouard nous livre la réaction de Maurice Leblanc à un article consacré au Charretier de "La Providence" :
À Cannes, Maurice [Leblanc] lit, dans L’Éclaireur de Nice du 1er février, un article de Georges Avril sur Georges Simenon, article chaleureux pour le genre « policier » et se moquant des « écrivains à prétentions » et des « lecteurs pervers qui jugent la valeur d’un ouvrage à la somme d’ennui qu’il dégage ». Maurice écrit à Georges Avril une lettre que L’Éclaireur de Nice reproduit le 4 février : « J’ai bien fait de suivre votre conseil et de prendre contact, comme vous le recommandez encore ce matin, avec l’œuvre de Georges Simenon. Je n’ai pu le faire que de façon insuffisante, car je finissais un roman, et c’est là une période où je ne me permets aucune lecture. Cependant j’ai lu Le Charretier de “La Providence”, et vos éloges ne m’ont pas paru excessifs, au contraire. C’est rudement bien. Et combien vous avez eu raison d’insister plus particulièrement sur cette faculté, si rare parmi les romanciers d’aventures, de créer une atmosphère et d’établir des caractères. On n’a pas le temps de s’attarder. L’action vous presse. La moindre digression ralentit le mouvement... Et Georges Simenon, par je ne sais quel sortilège, décrit et approfondit et s’arrête sans que l’on s’en aperçoive. Si vous avez l’occasion de le voir, félicitez-le bien sincèrement de ma part. J’avais l’intention de lui demander un rendez-vous. Et puis je suis obligé de partir plus tôt que je ne le pensais. »
À Cannes, Maurice [Leblanc] lit, dans L’Éclaireur de Nice du 1er février, un article de Georges Avril sur Georges Simenon, article chaleureux pour le genre « policier » et se moquant des « écrivains à prétentions » et des « lecteurs pervers qui jugent la valeur d’un ouvrage à la somme d’ennui qu’il dégage ». Maurice écrit à Georges Avril une lettre que L’Éclaireur de Nice reproduit le 4 février : « J’ai bien fait de suivre votre conseil et de prendre contact, comme vous le recommandez encore ce matin, avec l’œuvre de Georges Simenon. Je n’ai pu le faire que de façon insuffisante, car je finissais un roman, et c’est là une période où je ne me permets aucune lecture. Cependant j’ai lu Le Charretier de “La Providence”, et vos éloges ne m’ont pas paru excessifs, au contraire. C’est rudement bien. Et combien vous avez eu raison d’insister plus particulièrement sur cette faculté, si rare parmi les romanciers d’aventures, de créer une atmosphère et d’établir des caractères. On n’a pas le temps de s’attarder. L’action vous presse. La moindre digression ralentit le mouvement... Et Georges Simenon, par je ne sais quel sortilège, décrit et approfondit et s’arrête sans que l’on s’en aperçoive. Si vous avez l’occasion de le voir, félicitez-le bien sincèrement de ma part. J’avais l’intention de lui demander un rendez-vous. Et puis je suis obligé de partir plus tôt que je ne le pensais. »
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